Les cours sont assurés par Jean-Luc et Véronique Lesueur ou par des enseignants membres de l’association.

Véronique Lesueur

Véronique Lesueur

Véronique Lesueur pratique le Qi Gong depuis 1982 et le Tai Chi Chuan yang depuis 1984. Elle a un 4ème duan en Tai Chi Chuan et un 5ème duan en Shuai Jiao. Elle a également été la première femme à pratiquer le Tai Ki Ken.

Véronique Lesueur a effectué plusieurs séjours en Asie. Le Grand Maître SAWAI lui a personnellement enseigné des techniques d’auto-défense et elle est la première femme à avoir effectué des combats libres. Elle a aussi suivi l’enseignement des Maîtres LI JIANYU et WANG YU-FANG. Aujourd’hui, elle enseigne le tai chi chuan (brevet d’arts internes), le Yi quan et le judo (DE).

Véronique Lesueur est titulaire :

  • du diplôme fédéral en Arts Martiaux Chinois Interne, brevet de professeur AMCI en Tai Chi Chuan et en Yi Quan
  • du Diplôme d’État Judo
  • du Diplôme Universitaire « sport et cancer »

Résultats sportifs de Véronique en Tai chi chuan forme mains nues, forme rapide, éventail, sabre et Tui Shou :

  • Médaille d’or au tournoi international de Liangshan (Chine) (2018)
  • 4 médailles d’or au Championnat du Monde de kung Fu à Phuket (2018)
  • 5 fois championne d’Europe (2015 à 2017)
  • Championne de France (2006 à 2017), médaille d’or en Tai chi chuan mains nues en jiti en 2017

Jean-Luc Lesueur

Jean-Luc Lesueur

Jean-Luc Lesueur est enseignant de Yi Quan, Tai Ki Ken, Judo, Shuai Jiao, Qi Gong et Tai Chi Chuan forme Chen. Il a été formé en France par Michel Bénard (Professeur Judo (élève d’H. Courtine), Aïkido (Nocquet, Tamura), Karaté (Sauvin), Yoga.

Jean-Luc LESUEUR a commencé les ARTS MARTIAUX à l’âge de 11 ans avec pour premier maître et professeur Michel BENARD. Il a eu la chance de recevoir un enseignement axé sur la connaissance du BUDO, et de rencontrer certains de ses experts. Peu à peu, il a décidé de se perfectionner en judo et de s’entraîner à l’INSEP (Institut National des Sports et de l’Education Physique) et dans d’autres DOJO.

  • En 1980, il obtient le diplôme d’état (option judo).
  • En 1981, il débute la pratique du qi gong avec le Maître Julien ZHU.
  • De 1980 à 1984, il enseigne le judo et le ju-jutsu, mais beaucoup de questions restent sans réponse. Il décide alors d’arrêter l’enseignement, de redevenir élève, et de partir pour le Japon afin de bénéficier de l’expérience des « vieux maîtres ».
  • En 1984, il arrive à TOKYO, s’inscrit au KODOKAN pour le judo et prend contact avec le célèbre KENICHI SAWAI pour être accepté dans son école.
  • En 1987, il reçoit de MAITRE SAWAI la licence d’enseignement et le titre de RENSHI. Celui-ci lui demande alors de le représenter en France et d’y développer le tai ki ken. A la mort de ce maître, Jean-Luc LESUEUR entreprend des recherches sur l’enseignement originel de Maitre WANG XIANG-ZHAI.
  • En 1990 et 1992, il suit l’enseignement de WANG XUAN JIE.
  • En 1995, lors d’un stage organise par MAC DONAGH, il se rend en Suède pour suivre l’enseignement de Maître CUI RUI BIN.

De 1984 à 1995, il effectue de nombreux séjours au Japon. Maître Kenichi SAWAI lui accorde le privilège exceptionnel de pouvoir s’entraîner chez la plupart des professeurs de tai ki ken afin d’acquérir une vision plus large de la discipline (la plupart des autres pratiquants japonais n’ont pas eu cette opportunité). Durant cette période, il s’exerce aux techniques particulières du tai ki ken sous la direction des principaux leaders et des « brothers students » (étudiants frères) : SATO Yoshimishi, SAWAI Akio, IWAMA Norimasa, SHIMADA Michio, KASHIMURA Hideo , AMANO Masaki, SATO Seiji, KUBO Isato, SAITO Akira, FURUKAWA, UCHIMURA, etc.

Sans renier le tai ki ken, Maître SATO Seiji a joué un rôle important dans le développement du yi quan au Japon : il est le premier à avoir développé l’enseignement de la famille YAO. Dès 1984, il diffuse des documents sur le i ken (nom japonais du yi quan) et sur le tai ki ken (nom japonais donné par Me SAWAI au da cheng quan). Le nom interne utilisé sur les menkyo (certificats) est celui de tai ki shi sei kempo. Le mot kempo signifie boxe chinoise en japonais. SATO Seiji est donc à l’origine de tout un mouvement d’intérêt pour les pratiques du yi quan au sein du courant tai ki ken. Il a entraîné dans sa mouvance la nouvelle génération de professeurs. C’est ainsi que Jean-Luc LESUEUR a étudié à l’époque le YI QUAN. Ces deux enseignements ont été pour lui une source de richesse inestimable car l’expérience de maître SAWAI a replacé les applications du yi quan dans un autre contexte tout en gardant son essence.

En 1995, lors d’une séance d’entraînement avec SATO Seiji, celui-ci lui conseille de rencontrer le grand maître LI JIANYU car sa forme de travail et sa manière de bouger sont proches de celles de Kenichi SAWAI. Quelques mois plus tard, à l’invitation de Shigeru UEMURA, LI JIANYU était en France. Depuis cette date il a effectué de nombreux séminaires sur le territoire français dont la plupart ont été organisés par les associations FUDOSHIN & ANYDA dont Véronique LESUEUR est la présidente.

En 1997 et 1998, J. L. LESUEUR rencontre LI JIANYU à PEKIN où tous deux rendent visite au grand maître WANG YU-FANG (fille de WANG XIANG-ZHAI). Émerveillé, JL LESUEUR décide de l’inviter en France pour animer une série de stages en 99-2000.

En 1998, J. L. LESUEUR prend contact avec le grand Maître de shuai jiao (lutte chinoise) WANG WENYONG, et envisage d’organiser quelques séminaires en Europe avec lui.

Actuellement, J. L. LESUEUR est le représentant du yi quan au sein de la Fédération de Tai chi chuan et qi gong (FTCCG). Il enseigne le yi quan (brevet d’arts internes), le judo (DE), le tai ki ken (menkyo) et le sambo (maître régional).
Son objectif est d’enseigner dans le respect de la tradition transmise par ses maîtres, enrichie de ses recherches personnelles.

Jean-Luc Lesueur passe deux ans au Japon. Il étudie le Judo au Kodokan et le Tai Ki Ken auprès du fondateur Kenichi Sawaï et devient le deuxième étranger à obtenir un menkyo (licence d’enseignement délivré par un maître). K. Sawaï nomme JL Lesueur comme son successeur pour la France.

En 1990 et 1992, il suit l’enseignement de Da Cheng Quan de sifu Wang Xuanjié. Il recevra plus tard son meilleur disciple en France dont il recevra une licence d’enseignement. En 1995, Jean-Luc Lesueur rencontre le grand maître Li Jianyu, dont il deviendra le disciple et le successeur pour l’Europe.Li Jianyu fit 7 séjours en France. En 1998, c’est la rencontre avec le grand maître de Shuai Jiao, Wang Wenyong, surnommé le roi de la lutte chinoise. Il devient son disciple et son successeur pour l’Europe.

Il a été champion d’Europe en tuishou et 2 fois 2ème aux championnat du monde de sambo. Une centaine de victoires en shuai jiao en Chine et quelques défaites. Il a formé de nombreux champions de France en shuai jiao, tuishou, yi quan, sambo. 4 Coupe du Monde ont été remporté par les élèves en Shuai Jiao et Tuishou. 8 titres de champion d’Europe en Shuai Jiao. 8 titres de champions d’Europe en tuishou (TCFE et Fédération Kuoshu).

Il est membre du Collège Technique en Yi quan au sein de la Fédération Arts Martiaux Chinois. Il contribué aux critères d’examens pour les diplômes d ‘enseignants et pour les grades en yi quan (da cheng quan, tai ki ken) et shuai jiao.

Pour le Qi Gong de l’envol de la Grue, il reçoit l’enseignement du maître Zhu Ji Fei. Pour le Yang Sheng Gong (entretien de la santé), il étudie à Pékin au près de Wang Yu-Fang, fille du fondateur Wang Xiang-Zhai à Pékin, et l’invite en France en 2000 pour une série de stages. Il reçoit également licence d’enseignement du maître Wu Xiu Qing (seconde épouse de Chen Xiaowang) pour le Tai Chi Chen, étudié à Chenjiagou.